Partis du constat qu’en Afrique l’offre du financement destinée aux entreprises de taille intermédiaire est quasi inexistante. Malgré les actions entreprises, les opportunités de financement à l’endroit de ces PME et entrepreneurs restent faibles.
En Afrique, les PME représentent 90% des sociétés privées et 33% du PIB.
Cependant seulement 6,4% de celles-ci ont accès au financement.
La mésofinance semble donc une réponse efficiente au nouveau paradigme des marchés émergents Africains. Sander et Wegener qualifient ce phénomène de « missing middle », autrement dit, « le chainon manquant ». C’est la voie alternative de la finance.